Entre restrictions alimentaires et tournée minérale de neuf mois, doit-on faire une croix sur sa vie sociale lorsqu’on est enceinte ? « Bien sûr que non ! », rassure Julie. La jeune maman nous file ses astuces pour éviter d’éveiller les soupçons au début de la grossesse et pour que la fête continue, en toute sécurité.
Julie est maman d’un garçon de 4 ans et demi et d’une petite fille de 13 mois. Elle habite à Namur et exerce sa fonction de secrétaire médicale à Jambes. Grande sorteuse, elle a connu une grossesse classique et une grossesse en confinement.
« Pour mon deuxième bébé, j’étais enceinte pendant le confinement. Mon compagnon et moi étions donc beaucoup plus cool et casaniers avec les restrictions sanitaires. Ce n’était pas plus mal !
Pour le premier, par contre, j’ai pu continuer à faire la fête. Le côté "boissons sans alcool", je signe des deux mains ! Mais devoir échafauder des plans les premiers mois pour ne pas me faire démasquer s’apparentait à un véritable challenge. Dans les bars, je commandais des cocktails sans alcool en catimini ; à la maison, la bière 0%, servie dans un verre, faisait parfaitement illusion. Au resto ou quand on est reçu, il faut repérer ce qui n’est pas cuit ou lavé méticuleusement… Ça, j’avoue que ça casse un peu l’ambiance mais c’est tout à fait tenable ».